Démocrite et les Abdéritains
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
En ce monde il se faut l’un l’autre secourir :
Si ton voisin vient à mourir,
C’est sur toi qu
Quatre chercheurs de nouveaux mondes,
Presque nus échappés à la fureur des ondes,
Un Trafiquant,
Une Souris tomba du bec d’un Chat-Huant :
Je ne l’eusse pas ramassée ;
Mais un Bramin le fit :