Démocrite et les Abdéritains
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
Que j’ai toujours haï les pensées du vulgaire !
Qu’il me semble profane, injuste, et téméraire,
Mettant de faux milieux entre la chose et lui,
D’où vient que personne en la vie
N’est satisfait de son état ?
Tel voudrait bien être soldat
Fureur d’accumuler, monstre de qui les yeux
Regardent comme un point tous les bienfaits des Dieux,
Du palais d’un jeune Lapin
Dame Belette, un beau matin,
S’empara : c’est une rusée.
Le maîtr