La Lionne et l’Ourse
Mère Lionne avait perdu son fan :
Un chasseur l’avait pris. La pauvre infortunée
Poussait un tel rugissement
Que toute la forêt était importunée.
La nuit ni son obscurité,
Son silence, et ses autres charmes,
Mère Lionne avait perdu son fan :
Un chasseur l’avait pris. La pauvre infortunée
Poussait un tel rugissement
Que toute la forêt était importunée.
La nuit ni son obscurité,
Son silence, et ses autres charmes,
La femme du Lion mourut ;
Aussitôt chacun accourut
Pour s’acquitter envers le Prince
De certains compliments de consolation,
Qui ne court après la Fortune ?
Je voudrais être en lieu d’où je pusse aisément
Contempler la
Compère le Renard se mit un jour en frais,
Et retint à dîner commère la Cigogne.
Le régal fut p
Master sophrologue- Coach- Relation d'aide «Pour un mieux-être au quotidien » Axe thérapeutique